La lettre mensuelle de Port Atlantique La Rochelle (PALR) de mars 2022 est à consulter sur le site www.larochelle.port.fr . Son contenu est le suivant :

Port Atlantique La Rochelle et plusieurs entreprises portuaires possèdent un potentiel significatif de production photovoltaïque, en particulier sur les toitures de hangars. Ceci avait pu être mis en évidence dans une première étude menée en 2021.

Le port lance actuellement une nouvelle étude dite « technico-économique » sur ces bâtiments à potentiel. Une première réunion s’est tenue le 18 février.

Le mois de février 2022 s’est achevé ainsi que la consultation de la Commission National du Débat Public – CNDP – sur l’éolien offshore en mer d’Aquitaine.

Notre communauté s’est fortement investie dans ce débat en participant à de nombreuses réunions de la CNDP et en produisant deux cahiers d’acteurs, celui de l’Union Maritime de La Rochelle –UMLR- et de l’Association Aquitaine Blue Energies –ABE. Nous attendons maintenant les conclusions de cette commission.

Le trimestriel du site energiesdelamer.eu, MerVeille Energie #6 , vient de paraître. Les fondations et pièces de transition stockées sur le quai et le terre-plein de l’Anse Saint-Marc du port de La Rochelle, installées par le navire Innovation de DEME sur le site du banc de Guérande font la couverture du magazine. Un dossier de Dominique Pialot est consacré aux ports comme écosystème pour la transition énergétique.

Tandis que s’achèvera prochainement le débat public Nouvelle Aquitaine, visant à éclairer le choix de l’Etat dans la détermination d’une future zone propice au déploiement de deux parcs au large de de l’Ile d’Oléron, se tient actuellement depuis janvier 2022 une concertation préalable relative aux futurs parcs éoliens en mer dans la zone Centre Manche. Débat public, concertation préalable, enquête publique…, les manifestations de la pratique participative, notamment dans le cadre de l’éolien en mer, sont protéiformes et ne procèdent pas nécessairement des mêmes motivations. Une ligne directrice se dessine néanmoins, à savoir le déplacement du curseur de la participation du public toujours plus en amont dans le calendrier du processus décisionnel. En effet, l’enquête publique, n’intervient qu’en aval du processus de décision, après réalisation de l’évaluation environnementale.