Mercredi 24 octobre 2018 s’est tenu un séminaire organisé par la chambre de commerce et d’industrie de Haute-Corse autour de la notion d’économie circulaire dans les espaces portuaires. Pour la façade Atlantique, la démarche MER construite autour du Grand Port Maritime de La Rochelle était invitée à présenter ses différentes actions mises en place depuis 2016 par ses 40 entreprises volontaires.
Au lendemain de la publication du rapport du GIEC, une trentaine de membres de la démarche MER était réunie ce matin pour assister à la présentation par Jean-François FOUNTAINE, Maire de La Rochelle, de la candidature « La Rochelle, territoire zéro carbone ».
Les scientifiques nous le répètent depuis plusieurs années : limiter le réchauffement climatique à 1,5°C nécessitera d’atteindre une « neutralité carbone » en 2050, un point d’équilibre entre la quantité d’émissions de gaz à effet de serre émise dans le monde et la capacité qu’à la Terre de capter et stocker du dioxyde de carbone.
L’écho de la mer est parvenu jusqu’à France Culture et il a résonné pendant une semaine fin septembre sur France Culture dans l’émission L’éco prend le large ».
« Qui tient la mer, tient le monde », l’adage s’est toujours vérifié au cours du temps. Qu’en est-il aujourd’hui ? A-t-il résisté au temps ? A la mondialisation des échanges ? Sera-t-il toujours d’actualité au cours du 21ème siècle ? Autant de questions auxquelles l’émission tente de répondre.
L’Association Vendéo-Ligérienne RUPTUR organisait ses premières “journées de l’économie bleue” aux Sables d’Olonne, mardi 25 septembre 2018. L’aventure a commencé lors de la convention APM à Bordeaux en septembre 2017 et la rencontre avec Gunter Pauli, chef d’entreprise Belge et créateur de l’économie Bleue. Fin septembre, Gunter est venu à Nantes à la rencontre d’entrepreneurs. Dès lors, une dynamique s’est lancée avec des entreprises de Loire Atlantique et de Vendée.
RUPTUR et ses membres ont pour volonté de créer une véritable rupture environnementale et sociétale pour bâtir l’économie de demain, anticiper les mutations métiers, créer de nouveaux business et transmettre aux jeunes générations. “Nos déchets peuvent être perçus comme une valeur inexploitée par nos entreprises. Notre mission est de révéler et créer de la valeur économique, là où tout le monde voit aujourd’hui une contrainte.” Des objectifs proches de ce que nous nous efforçons de mettre en place avec la démarche MER.
Vendredi 21 septembre 2018, avait lieu les premières universités d’été du financement court terme et de la location longue durée, organisée par la BNP Paribas « grand Sud ». Après une présentation du Grand Port Maritime de La Rochelle, une série d’entretiens menés par les équipes locales de la BNP ont été effectués au sein de la Maison du Port. Objectifs : faire connaitre notre contexte local et faire bénéficier de nos infrastructures à des entreprises que cela intéresse.
Cette initiative, expérimentale pour le moment, pourrait être reproduite l’année prochaine.
Un grand merci aux équipes le BNP d’avoir jeté leur dévolu sur le Grand Port Maritime de La Rochelle.
La première éolienne flottante française FLOATGEN, installée au large du Croisic (Loire-Atlantique), a commencé à alimenter le réseau électrique, mardi 18 septembre2018.
Expérimentée au sein de l’Ecole centrale de Nantes, l’éolienne permettra d’alimenter en électricité l’équivalent de 5 000 habitants, soit la population de la ville de Saint-Georges-de-Didonne ou Dompierre-sur-Mer.
Débuté en 2013, le projet réunit sept partenaires européens, dont la start-up Française Ideol, qui a conçu l’ensemble du système flottant et a fourni l’éolienne, l’Ecole centrale de Nantes, qui exploite le site d’expérimentation, et Bouygues travaux publics, qui a construit la fondation flottante. Il est soutenu par l’Union européenne, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) et la région Pays de la Loire.
Rencontré au Salon international des Energies Marines Renouvelables (EMR) en juin 2018, Jean-Luc Stanek (fondateur et concepteur de la machine houlomotrice Hace) est un personnage à part dans le monde des EMR. En proposant un procédé innovant, breveté, utilisant la force des vagues pour produire de l’électricité non intermittente, la machine HACE cherchait après 5 années de mise au point du concept, un terrain d’expérimentation. Le GPMLR, par l’intermédiaire d’Anthony Vélot, s’est donc employé à faire en sorte que la zone test se situe dans l’enceinte du Port. Ce qui fut chose faite après accord de Michel Puyrazat, Président du directoire.
La machine houlomotrice, arrivée le 22 aout à La Pallice à l’aide quatre semi-remorques et d’une grue 50 tonnes, a donc été mise à l’essai ce vendredi 31 aout 2018 sur la zone test au nord du viaduc Mörch.
Vendredi 20 juillet dernier, Madame Anne-Laure CHEVRON, responsable du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA) à la Caisse des Dépôts de la Nouvelle-Aquitaine était en de passage au Grand Port Maritime de La Rochelle.
Accueillie par le Président du Directoire Michel PUYRAZAT, par le Président du Conseil de développement René MURATORE et par le Président de l’Union Maritime Philippe JOUSSEMET, cette visite d’un peu plus de deux heures fut l’occasion de présenter les infrastructures du GPMLR, ses projets actuels et à venir (Port Horizon 2025, Démarche MER, candidature “La Rochelle, Territoire zéro carbone”) et le dynamisme de la communauté portuaire Rochelaise.
De son côté Madame CHEVRON a pris le temps d’évoquer les missions de la Caisse des Dépôts et notamment la délégation par l’Etat à la Caisse des Dépôts de la gestion de l’action « territoires d’Innovation – Grande Ambition » dotée d’une enveloppe de 450 M€ afin d’identifier et sélectionner des projets originaux associant un haut niveau d’innovation et un écosystème territorial.
Le consortium, réunissant la Communauté d’agglomération de La Rochelle, la ville de La Rochelle, l’Université, Atlantech et Port Atlantique La Rochelle, s’est réuni lors d’un comité technique le 5 juillet dernier afin d’effectuer un point d’étape de la candidature Rochelaise à l’appel à manifestation d’intérêts “Territoires d’Innovation de Grande Ambition”.
A la fin du mois dernier, nous avons eu le plaisir de recevoir nos voisins Deux-Sévriens membres de l’Association pour le Progrès du Management pour une journée divisée en quatre temps.
Le Club APM (Association pour le Progrès du Management) se compose de 20 dirigeants des Deux-Sèvres, œuvrant notamment dans les secteurs d’activité ci-dessous :
